Les gouvernements de ces trois pays étaient sur le terrain pour s’enquérir de la réalité. Parti de Dar-es-Salaam à bord du train les différentes délégations ont parcouru 90 km, pour constater l’évolution des travaux de construction de ce grand projet de construction du chemin de fer à écartement standard électrifié.
A bord du train, la matérialisation de ces infrastructures alimentait les discussions qui étaient renforcées par les explications des experts.
L’on pouvait bien apercevoir les différentes installations en construction concourante au bon fonctionnement de cette infrastructure.
A chaque site les explications étaient fournies par les techniciens sur le fonctionnement du site.
Dans ces installations, par exemple, les visiteurs ont eu droit aux explications relatives à la fourniture de l’électricité, les types des matériels et les dispositifs mis en place pour pallier à toute éventualité en cas de problème. 000000
90 km ont suffi pour avoir une idée exacte de cette infrastructure ferroviaire moderne en construction.
L’avancement des travaux a émerveillé toute l’équipe technique d’appui mais la mise en œuvre de ce projet dépend de l’état d’avancement des travaux .Le secrétaire exécutif de l’AFTTCC.
Un parcours technique et performant qui prouve la détermination de chacun à jouer son rôle selon ses diversités. Pour ce qui est de la RDC, le gouvernement s’active pour entamer les études de faisabilité et la préparation du cahier de charges, l’élaboration du dossier d’offre pour le recrutement du consultant censé faire les études de faisabilité. Roger BIASU coordonnateur du CEPCOOR revient sur d’autres details.
La construction de cette infrastructure ferroviaire moderne, un projet intégrateur qui exige également une production locale des matériaux afin de réduire le coût.
Un défi que tient à relever chaque gouvernement. Le cas du Burundi qui se prépare aussi bien en conséquence.
Parmi les infrastructure si connexes qui concourent à l’efficacité de ce chemin de fer qui va faciliter la tâche aux opérateurs économiques, il y’a aussi la construction du port sec de Kagwa , un site qui réserve aussi des étendues de terres à la RDC et au Burundi pour faciliter le transit des marchandises.
Peu, avant la délégation a visité le port de dar-es-Salaam considéré comme le point zéro du corridor central, une visite de près de 4heures qui a permis de comprendre le fonctionnement de ce site sur lequel tout se joue.
Le chemin de fer à écartement standard et électrifié est un dénominateur commun de consolidation des liens entre les délégations de la RDC, du Burundi et de la Tanzanie qui ont été sur le terrain pour s’enquérir de l’évolution des travaux de construction dudit chemin de fer à Dar- es-Salaam.
Une expérience Tanzanienne qui sert de référence au Burundi et à la RDC où, les études de faisabilité pourront bientôt commencer. Ce voyage de 90 km à bord du train , un exemple vif de la transformation du corridor central.