Madame Ange Balangaliza a été poignardé au cou à son lieu de travail non de l’endroit dit feu vert en commune d’Ibanda. D’après nos source la femme exerçait des activités de transfert d’argent via le service m-pesa de vodacom.
Selon des témoins sur place, il était presque 10h lorsque deux motos qui transportaient deux passagers se sont arrêtées devant le bureau de la dame.
C’est alors qu’un des passagers est entré alors que l’autre qui était armé et habillé en tenue militaire est resté devant la porte.
Toujours selon ce témoignage, les personnes qui exercent des activités à cet endroit n’ont pas pensé à un braquage mais plutôt à des clients qui sont venus solliciter des services.
« Nous étions à l’extérieur. Nous avons vus deux personnes arriver au shop une en tenue civile et l’autre en tenue militaire. Une est entrée dans le shop et l’autre est restée à l’extérieur. Nous, on croyait qu’elles étaient des clients. C’est quand la dame est sortie entrain de saigner que nous avons su que c’étaient des voleurs. La dame nous a dit qu’on venait de lui prendre tout l’argent et son téléphone portable. La victime étant entrain de perdre beaucoup de sang c’est alors que les passants l’ont emmenée dans une formation médical pour des soins appropriés», nous a expliqué un témoin rencontré sur place.
De leur côté, les assaillants ont fui vers une destination inconnue emportant la mallette qui contenait une importante somme d’argent appartenant à la victime.
Selon le chef de quartier Nyalukemba qui s’est rendu sur le lieu pour s’enquérir de la situation, la vie de madame Ange BALANGALIZA n’est pas en danger. Entre temps c’est une enquête qui été ouverte pour retrouver les malfaiteurs.
Pendant ce temps, c’est un taximen d’une vingtaine d’années répondant au nom de Claude MULUMBA allias qui a été séquestré par des hommes en armes non autrement identifiés sur avenue du lac aux environs de 10h.
A en croire notre source, elle a perdu son téléphone portable, une somme de 90 dollars et 22 000 francs.
Au regard de cette nouvelle forme d’insécurité qui est enregistrer en plein jour, les habitants attirent l’attention des autorités afin de ne pas compter d’autres cas d’assassinats dans la ville de Bukavu.