Les autorités sont appelées à mettre en place des mécanismes pouvant contribuer au respect des droits de l’homme en général et ceux de la femme en particulier, aussi bien en temps de conflits qu’en temps de paix.
Elles doivent accompagner toutes les initiatives locales visant à promouvoir les droits pour espérer un monde équilibré et sans discrimination, où les hommes et les femmes jouissent des mêmes droits.
Le message est de Colette Salima, défenseure des droits de la femme et coordonnatrice de Congo Hope Initiative, une organisation qui milite pour les droits de la femme et de l’enfant au Sud-Kivu.
Ce message intervient en marge de la clôture, ce 10 décembre 2025, des 16 jours d’activisme contre les violences faites à la femme et à la jeune fille, une date qui marque également la commémoration de la Journée mondiale des droits de l’homme.
Pour Colette Salima, les droits des femmes ne sont pas seulement une question de justice sociale, mais également une question des droits humains fondamentaux.
Elle exhorte les parties en conflits à protéger les droits des femmes selon les textes légaux pour que ces dernières vivent à l’abri des violences de tout genre et qu’elles se sentent protégées contre tout danger.
Rappelons que la campagne de 16 jours d’activisme contre les violences faites à la femme se clôture ce 10 décembre avec la célébration de la Journée mondiale des droits de l’homme.
Par Mapendo Linda