Le chef du groupement d’Irongo en chefferie de Ngweshe, Ntambaka Byamungu dément les informations selon lesquelles il utilise un groupe des militaires et policiers qui insécurisent la population de cette partie de la province.
Dans une correspondance adressée au gouverneur de province et dont une copie a été déposée à la rédaction de votre radio, le chef du groupement d’Irongo indique que la situation sécuritaire dans son entité est relativement calme.
Ntambaka Byamungu précise que seule la localité d’Isingo sur les 29 que compte le groupement d’Irongo connait une insécurité permanente entretenue par quatre familles du milieu.
Concernant les informations sur l’installation d’un cachot de la police dans l’enclos du chef de groupement à Irongo, le concerné dit avoir juste érigé un hébergement pour les policiers dans sa concession car leur hiérarchie ne l’avait pas prévu.
Le chef du groupement d’Irongo ajoute que les amendes exigées et perçues par les policiers du sous commissariat de cette entité n’entrent pas dans le compte du groupement.
Les arrestations effectuées par les éléments de l’ordre n’ont rien à voir avec les activités du groupement renchérit notre source.
Enfin le chef du groupement d’Irongo sollicite l’intervention personnelle du gouverneur de province pour la restauration de la paix dans la localité d’Isingo en proie à l’insécurité entretenue par quatre familles du milieu.
Signalons que cette correspondance du chef de groupement fait suite à un mémorandum de certains ressortissants d’Irongo en chefferie de Ngweshe vivant à Bukavu.
Ces derniers à travers ce memo dénonçaient l’implication du chef de groupement dans l’insécurité qui se vit dans cette partie du territoire de Walungu.
Les ressortissants d’Irongo accusent également le chef de leur groupement d’entretenir un cachot dans son enclos pour des arrestations arbitraires et la sommation aux payements d’amendes.
Le chef du groupement d’Irongo en chefferie de Ngweshe, Ntambaka Byamungu dément les informations selon lesquelles il utilise un groupe des militaires et policiers qui insécurisent la population de cette partie de la province.
Dans une correspondance adressée au gouverneur de province et dont une copie a été déposée à la rédaction de votre radio, le chef du groupement d’Irongo indique que la situation sécuritaire dans son entité est relativement calme.
Ntambaka Byamungu précise que seule la localité d’Isingo sur les 29 que compte le groupement d’Irongo connait une insécurité permanente entretenue par quatre familles du milieu.
Concernant les informations sur l’installation d’un cachot de la police dans l’enclos du chef de groupement à Irongo, le concerné dit avoir juste érigé un hébergement pour les policiers dans sa concession car leur hiérarchie ne l’avait pas prévu.
Le chef du groupement d’Irongo ajoute que les amendes exigées et perçues par les policiers du sous commissariat de cette entité n’entrent pas dans le compte du groupement.
Les arrestations effectuées par les éléments de l’ordre n’ont rien à voir avec les activités du groupement renchérit notre source.
Enfin le chef du groupement d’Irongo sollicite l’intervention personnelle du gouverneur de province pour la restauration de la paix dans la localité d’Isingo en proie à l’insécurité entretenue par quatre familles du milieu.
Signalons que cette correspondance du chef de groupement fait suite à un mémorandum de certains ressortissants d’Irongo en chefferie de Ngweshe vivant à Bukavu.
Ces derniers à travers ce memo dénonçaient l’implication du chef de groupement dans l’insécurité qui se vit dans cette partie du territoire de Walungu.
Les ressortissants d’Irongo accusent également le chef de leur groupement d’entretenir un cachot dans son enclos pour des arrestations arbitraires et la sommation aux payements d’amendes.
Le chef du groupement d’Irongo en chefferie de Ngweshe, Ntambaka Byamungu dément les informations selon lesquelles il utilise un groupe des militaires et policiers qui insécurisent la population de cette partie de la province.
Dans une correspondance adressée au gouverneur de province et dont une copie a été déposée à la rédaction de votre radio, le chef du groupement d’Irongo indique que la situation sécuritaire dans son entité est relativement calme.
Ntambaka Byamungu précise que seule la localité d’Isingo sur les 29 que compte le groupement d’Irongo connait une insécurité permanente entretenue par quatre familles du milieu.
Concernant les informations sur l’installation d’un cachot de la police dans l’enclos du chef de groupement à Irongo, le concerné dit avoir juste érigé un hébergement pour les policiers dans sa concession car leur hiérarchie ne l’avait pas prévu.
Le chef du groupement d’Irongo ajoute que les amendes exigées et perçues par les policiers du sous commissariat de cette entité n’entrent pas dans le compte du groupement.
Les arrestations effectuées par les éléments de l’ordre n’ont rien à voir avec les activités du groupement renchérit notre source.
Enfin le chef du groupement d’Irongo sollicite l’intervention personnelle du gouverneur de province pour la restauration de la paix dans la localité d’Isingo en proie à l’insécurité entretenue par quatre familles du milieu.
Signalons que cette correspondance du chef de groupement fait suite à un mémorandum de certains ressortissants d’Irongo en chefferie de Ngweshe vivant à Bukavu.
Ces derniers à travers ce memorandum dénonçaient l’implication du chef de groupement dans l’insécurité qui se vit dans cette partie du territoire de Walungu.
Les ressortissants d’Irongo accusent également le chef de leur groupement d’entretenir un cachot dans son enclos pour des arrestations arbitraires et la sommation aux payements d’amendes.
Le chef du groupement d’Irongo en chefferie de Ngweshe, Ntambaka Byamungu dément les informations selon lesquelles il utilise un groupe des militaires et policiers qui insécurisent la population de cette partie de la province.
Dans une correspondance adressée au gouverneur de province et dont une copie a été déposée à la rédaction de votre radio, le chef du groupement d’Irongo indique que la situation sécuritaire dans son entité est relativement calme.
Ntambaka Byamungu précise que seule la localité d’Isingo sur les 29 que compte le groupement d’Irongo connait une insécurité permanente entretenue par quatre familles du milieu.
Concernant les informations sur l’installation d’un cachot de la police dans l’enclos du chef de groupement à Irongo, le concerné dit avoir juste érigé un hébergement pour les policiers dans sa concession car leur hiérarchie ne l’avait pas prévu.
Le chef du groupement d’Irongo ajoute que les amendes exigées et perçues par les policiers du sous commissariat de cette entité n’entrent pas dans le compte du groupement.
Les arrestations effectuées par les éléments de l’ordre n’ont rien à voir avec les activités du groupement renchérit notre source.
Enfin le chef du groupement d’Irongo sollicite l’intervention personnelle du gouverneur de province pour la restauration de la paix dans la localité d’Isingo en proie à l’insécurité entretenue par quatre familles du milieu.
Signalons que cette correspondance du chef de groupement fait suite à un mémorandum de certains ressortissants d’Irongo en chefferie de Ngweshe vivant à Bukavu.
Ces derniers à travers ce memo dénonçaient l’implication du chef de groupement dans l’insécurité qui se vit dans cette partie du territoire de Walungu.
Les ressortissants d’Irongo accusent également le chef de leur groupement d’entretenir un cachot dans son enclos pour des arrestations arbitraires et la sommation aux payements d’amendes.