Les officiers de la police judiciaire s’engagent à assurer la sécurité et la protection aux survivantes des violences sexuelles afin de leur éviter des cas similaires.
Ils s’engagent également à transférer les présumés auteurs du viol devant le ministère publique dans les 48 heures afin que ces derniers soient punis conformément à la loi.
C’est ce qui ressort d’un atelier de deux jours organisé par le BCNUH en faveur des officiers de police judiciaire et défenseurs judiciaires.
Les participants à cet atelier ont été édifiés sur différentes formes de violences sexuelles et comment les OPJ doivent se comporter devant un dossier lié au viol.
Il leur a été demandé d’orienter premièrement les victimes vers la prise en charge médicale afin qu’elles bénéficient des premiers soins et permettre à l’OPJ de réunir les éléments de preuve.
Les participants recommandent au BCNUH d’intensifier des séances de formations sur les violences sexuelles en faveur d’autres OPJ dans les territoires car des cas de viols sont également dans ces coins de la province.