Les journalistes capturés et ceux vivants en clandestinité doivent être mis en liberté afin de poursuivre leur travail qui est celui d’informer et former la population.
Message du coordonnateur de l’ASBL SOS IJM, une organisation de défense des droits humains, à l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’impunité des crimes commis contre le journaliste célébrée chaque 2 Novembre de l’année.
Pour Me Justin BAHIRHWE, la situation du journaliste congolais n’est pas bonne, vu que jusque-là il y a des medias qui sont fermés et des journalistes en captivité seulement parce qu’ils ont dit la vérité qui n’a pas plut à certaines autorités.
Il ajoute que les journalistes devraient être protégés, surtout pendant la période de guerre et non pas être pris pour ennemis pourtant ils ne font que relater le fait et mettre la population au parfum de ce qui se passe sur le terrain.
Hormis quelques avancées observés notamment l’adoption par le parlement de la loi sur la liberté de la presse, Me Justin BAHIRHWE propose qu’une loi portant protection des journalistes et défenseurs de droits humains soit voté au niveau national
Cette journée est célébrée cette année sous le thème lutter contre les menaces et crimes à l’encontre des journalistes pour protéger la liberté d’expression pour tous.
Notez qu’entre 2006 et 2020 plus de 1200 journalistes ont été tués dans le monde et près de 9 cas sur 10 n’ont pas été élucidé.
Hélène BUJIRIRI