Au cours d’une rencontre tenue au bureau de la nouvelle dynamique de la société civile entre le député national Kizito Mushizi et les membres de cette structure citoyenne, cet élut de la ville de Bukavu, promet d’entamer des procédures parlementaires pour que les problèmes de la population soient pris en compte par les gouvernants au niveau national.
Cette promesse fait suite à des multiples problèmes qui gangrènent la population relevés par la nouvelle dynamique de la société civile.
Parmi les problèmes soulevés par les participants à cette séance on signale la problématique des institutions de micro finance comme la COOPEC IMARA dont l’argent des membres n’a toujours pas été remboursé, la prime payée par les parents mais également la question liée à l’hygiène de la ville de Bukavu.
Pour ce qui est de la faillite des institutions financières, Mushizi promet de rencontrer le gouverneur de la banque centrale pour discuter de ces cas dont celui de la COOPEC IMARA.
Toutefois, ce cadre de l’UNC signale que c’est tout un processus pour qu’un député fasse arriver les doléances des habitants de sa circonscription électorale à l’assemblée nationale
« Le député ne décide pas il fait juste arriver les doléances de la population à qui de droit. Le reste se passe dans l’assemblée nationale. La population doit avoir de la patience. L’avenir du Congo est radieux pourvue que les hommes politiques soit responsables, le gouvernement respecter ses engagements et le peuple doit promouvoir le respect des lois de la république », conseil Mushizi.
A l’issue de cette rencontre initiée par la nouvelle dynamique de la société civile, son président national Jean Chrysostome Kijana, affirme qu’il sera difficile que tous ces problèmes soulevés trouvent des solutions car selon lui, il s’observe une mauvaise gestion au niveau national.