Les acteurs sociaux de la commune d’Ibanda notamment ceux réunis au sein Réseau Communautaire pour les Enfants RECOPE recommandent à la Fondation Panzi de les accompagner dans protection des sites identifiés fosses communes ou autres endroits pouvant constituer une preuve des massacres commis en RDC.
Recommandation formulée à l’issue d’un atelier de vulgarisation du contenu du rapport mapping et la résolution 24 67 du conseil de sécurité des nations unies.
En plus des connaissances sur le contenu de ces instruments, les participants ont été édifiés sur les violations des droits humains et crimes des guerres et la criminalisation des violences sexuelles telle que définie dans la résolution 24 67 des nations unies
Selon la facilitatrice du jour et vice-présidente de la société civile Me Nené Bintu, en cette période de 16 jours d’activés intenses de lutte contre les violences sexuelles, les acteurs à tous les niveaux doivent recevoir toutes les informations afin de mieux mener des plaidoyers pour un tribunal international pour Rd Congo.
Les participants estiment que la matière arrive à point nommé. Ils promettent néanmoins de lutter fort pour que ces genres de conflits et guerres qui conduisent souvent aux crimes et autres cas de violences sexuelles ne se produisent plus.
Ils recommandent l’accompagnement de la fondation Panzi pour sécuriser les sites historiques. Signalons que certains chefs d’avenues de la commune d’Ibanda ont également participé à ces travaux.
Furaha Chitera