Le comite de pilotage des campagnes de sensibilisation de lutte contre les violences sexuelles et celles basées sur le genre s’insurge contre le harcèlement sexuel dont sont victimes certaines femmes. Ces harcèlements se font principalement dans les écoles, universités et milieux de travail. Il le fait savoir lors de sa campagne de sensibilisation menée ce Samedi, 03 Mars devant plusieurs personnes en majorité jeune. C’était dans la salle concordia.
Selon les organisateurs le harcèlement sexuel est souvent oublié dans les actions à mener dans la province. Ils s’insurgent contre la montée en puissance de cette pratique en dépit de la présence de la loi qui punie cette forme de violence sexuelle.
Pour Gentil Akilimali Amuli, cordonnateur du consortium, le harcèlement sexuel est un enchaînement d’agissements à connotation sexuelle. La répétition de ces agissements affaiblie psychologiquement la victime.
« D’après les études que nous avons menées, il a été constaté que le harcèlement sexuel est très fréquent dans des lieux de travail, dans des écoles et dans des universités. Ce comportement a des effets nuisibles sur la compétence des victimes. Avec le harcèlements, les élèves ne savent plus se concentré à leurs études, même chose pour les étudiantes. Au travail le rendement des victimes devient faible », regrette Gentil Akilimali.
Parmi les organisations du consortium pour la lutte contre les violences sexuelle nous citons l’Association des femmes Juristes du Congo AFEJUCO et la plateforme COFAS ICJP SOS/IJM et ARPJ avec l’appui de l’organisation américaine Fredom House