L’état de siège écologique est l’un des mécanismes à activer pour réduire la pollution que subit le lac Kivu avec son nombre incalculable des déchets flottants. Ce mécanisme peut prévoir notamment l’interdiction de la production, la commercialisation et l’exportation du plastique, des sachets et leur remplacement par les poches en papier.
Cette proposition est du responsable du mouvement des casques verts Josaphat RUBENGA suite à la dégradation de l’écosystème aquatique du lac Kivu.
Selon un constat dressé par Radio MAENDELEO des déchets notamment des bouteilles et bidons plastiques ainsi que des sachets flottent sur les flancs du lac Kivu.
Cette vue est perceptible par exemple du côté des abords de la SNCC ce qui empêche la production intensive du poisson au vue de la prolifération des nappes phréatiques qui constitue des bassins ou les espèces aquatiques se développent.
Pour protéger le lac Kivu, Josaphat RUBENGA propose des restrictions en s’appuyant notamment sur la législation congolaise qui consacre l’interdiction de l’usage des sachets.
Il rappelle que la pollution du lac Kivu est à la base de plusieurs maladies diarrhéiques et le paludisme.
La SNEL quant à elle justifie la faible production en électricité par la série des pannes que connaissent ses machines suite au flottement des déchets aux centrales Ruzizi 1 et 2.
Expédit KYALU