850 femmes sur 100 000, meurent par an en RDC lors de l’accouchement. Ceci à cause de la fistule traumatique qui découle d’actes de violence sexuelle, de l’accès difficile au soin de santé et le cancer du col utérin. Cette révélation a été faite vendredi lors de la cérémonie marquant l’ouverture du 8ème Congrès des médecins gynécologues et obstétriciens de la RDC.
Ces assises de trois jours visent à définir des stratégies pouvant aider à réduire le taux de mortalité maternelle.
Pour lutter contre cette mortalité, le docteur Molondo conseille d’augmenter la qualité de soins de santé et du taux d’utilisation des appareils modernes pour l’accouchement. « Les recommandations formulées au cours de ses assises seront mis en application pour améliorer les conditions sanitaires en RDC étant que le frais de santé par habitant reste faible par rapport à d’autres pays africains. 3,3 dollars », ajoute le président national de la société Congolaise de gynécologie et d’obstétrique le docteur Jean-José Wolomby Molondo gynécologue obstétricien.
Le gouverneur de province qui a ouvert ces assises rassure son implication pour que ses administrés accèdent à des soins de santé de qualité et a un prix abordable.